DEVELOPPEMENT DURABLE (BIS)

Publié le par Alain Péronnet

La nature sauvage a beaucoup d'attraits, mais la main de l'homme  peut parfois ordonner les choses.
Il en est ainsi de la vigne que l'on doit remplacer au bout de quelques décénies.
Cette année, au début de juillet,nous avons à nouveau planté un hectare de merlot  sur un joli terroir en bout de plateau, et en contrepartie arraché la surface équivalente de vignes arrivées en fin de carrière.

Nous avons choisi de planter à la main.

Une fois le terrain préparé à recevoir les plants, il faut le diviser et l'organiser avec des gros tuteurs que l'on appelle marquants.

On utilise ensuite une sorte de tarrière (appelée bicyclette, car munie d'un guidon) pour réaliser chacun des 6500 trous destinés à recevoir les plants cultivés en pots.
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Les plants de merlot sont acheminés par le pépiniériste
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Les plants sont placésIMG-1043.JPG
Il ne reste plus qu'à arroser chacun  des 6500 plants (a renouveler)
Simple isn't it?
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